Dans l’arrêt CCE n° 122 668 du 17 avril 2014, rendu par une chambre à 3 juges, la requérante et sa fille originaires de Guinée, ont obtenu la qualité de réfugié en raison des craintes qui leur étaient propres : 1. risque d’excision pour la fille et 2. crainte de persécutions pour la mère en raison de son opposition à la pratique de l’excision et du mariage forcé qu’elle a subi.
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