Près de treize mille femmes et fillettes, victimes de mutilations génitales (MGF), vivent en Belgique. Et nombreuses sont celles qui ont fui leur pays d’origine pour échapper à l’excision. Les demandes d’asile dans lesquels ce motif est invoqué ont considérablement augmenté en 2014 : 701 dossiers contre 554 reçus en 2013, nous révèle en exclusivité le Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides (CGRA).
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