Depuis 2009, plusieurs acteurs associatifs de Charleroi, se sont réunis et ont constitué une plateforme à l’initiative de l’ASBL SIDA-IST Charleroi-Mons, membre des Stratégies concertées MGF. La Plateforme organise une journée sur la Santé et la Migration le samedi 18…
Celles et ceux qui ont raté la présentation de l’ouvrage « Femmes, Excision et Exil. Quel accompagnement thérapeutique possible? » peuvent désormais voir les contributions en ligne. Vous trouverez toutes les vidéos de la conférence ci-dessous. Présentation d’Annalisa D’Aguanno, psychologue clinicienne du GAMS Belgique.…
Les nouvelles politiques d’asile européennes catégorisent les demandeurs d’asile en fonction de profils de vulnérabilité. À partir de cette volonté, des projets se mettent en place pour détecter, accueillir, traiter et entendre différemment les demandeurs d’asile ‘vulnérables’. S’il est important d’apporter une…
(…) dans la plupart des communautés dans lesquelles l’excision se fait, ce sont les femmes qui le font et qui, maintenant, ont été sensibilisées. Elles commencent à comprendre que ce n’est pas bon et elles ont envie d’abandonner. Mais le fait qu’il n’y a pas d’homme qui en parle, peut-être, ça peut freiner le courage qui venait de naître en elles pour essayer de parler de la pratique. Mais s’il y a des hommes qui se lèvent et qui se joignent à ce mouvement pour dire « oui, ça suffit, on n’a pas envie de ça ! » Ca peut les motiver, ça peut leur rendre encore espoir de savoir que voilà, il y a des gens qui comprennent qu’effectivement, il y a une souffrance et qu’on ne s’épanouit pas avec ça. Je pense oui.
PRESS RELEASE –APRIL 1, 2015 Launch of the MEN SPEAK OUT project BRUSSELS, APRIL 1, 2015 GAMS Belgium, FORWARD UK, HIMILO foundation in Netherlands and the Institute of Tropical Medicine in Antwerp are pleased to announce the launch of…
Certaines personnes de ma communauté pensent que je suis envoûtée parce que je lutte contre la pratique, parce que je la critiquais et que je disais que cela apporte des souffrances. Mais c’est la réalité ! Nous, on en souffre. Ca joue encore sur beaucoup de couples qui sont là, aujourd’hui : beaucoup franchissent les portes mais les femmes ont peur de se plaindre parce que pour elles, elles trouvent que c’est la honte.