Appel à candidats formateurs PROJET BRIDGE – Sur la violence basée sur le genre à l’encontre des enfants et jeunes migrants. Défense des enfants International Belgique développe en collaboration avec FEDASIL un projet qui vise à renforcer la réponse à la violence…
Le GAMS Be prépare la mise en ligne d’une cartographie des professionnel.le.s en contact avec les personnes confrontées aux violences de genre dans le contexte migratoire.
Nous avons rencontré Pauline Soupa et Mathilde Borcard, bénévoles à l’Atelier « Préparation à la naissance » du GAMS à Bruxelles.
Les femmes qui participent sont généralement demandeuses d’asile, parfois régularisées ou au contraire sans-papiers. La majorité sont Guinéennes mais il y a également des femmes érythréennes, djiboutiennes, sud-soudanaises, sierra léonaises, nigériennes ou encore burkinabé. La majorité sont seules en Belgique, le père de l’enfant n’est pas présent dans la plupart des situations. Pour certaines il s’agit de la première grossesse, d’autres ont déjà des enfants.
Le guide « Osez le plaidoyer pour la santé ! » est le fruit d’une réflexion menée par l’asbl Culture&Santé. Cette publication souligne la nécessité d’encourager les actions de plaidoyer pour la santé et l’équité, et les leviers pour y parvenir. cette réflexion à été alimenté par la littérature d’une part, mais surtout par l’expérience de terrain de divers acteurs (associations, citoyen.ne.s) mettant en place des actions de plaidoyer.
Female Pleasure c’est le récit de cinq héroïnes venant cinq pays qui, à travers leurs histoires personnelles, dénoncent les discriminations et violences sexuelles faites aux femmes. Deborah Feldman, Leyla Hussein, Rokudenashiko, Doris Wagner, et Vithika Yadav viennent de pays différents, ont des cultures et religions différentes. Elles ont néanmoins un point commun : le fait d’avoir vécu des violences ou des discriminations parce qu’elles sont femmes. À travers ce documentaire, Barbara Miller part à la recherche d’explications sur cette condamnation du corps des femmes.
Internet est aujourd’hui un outil important de partage de messages en matière de santé publique. Ils offrent aux services publics et aux associations la possibilité d’atteindre des parties de la population qui ont moins accès aux médias traditionnels. Mais internet permet aussi aux communautés elles-mêmes de partager leurs informations en matière de santé, de créer des liens et d’interagir avec les autres. Les podcasts représentent-ils alors un outil pour libérer la parole sur les MGF et promouvoir la santé sexuelle des femmes ?
Ce questionnaire a été élaboré par les Stratégies concertées de lutte contre les MGF afin de mieux saisir les besoins des partenaires et des membres du réseau concernant le recours aux interprètes dans le cadre d’un accompagnement psycho-sociaux ou médical…
Au 31 décembre 2016, 70 576 filles et femmes originaires d’un pays où se pratique les mutilations génitales féminines résidaient en Belgique. Parmi elles, 25 917 sont concernées par les mutilations génitales féminines (soit déjà excisées, soit à risque) dont 9 164 mineures (moins de 18 ans). Dans l’hypothèse moyenne (intacte si arrivée avant 5 ans et excisée si arrivée après 5 ans), 17 575 filles et femmes excisées vivent en Belgique et 8 342 sont intactes mais à risque d’excision si aucun travail de prévention n’est effectué. Les cinq nationalités les plus représentées sont la Guinée, la Somalie, l’Egypte, l’Ethiopie et la Côte d’Ivoire. La Flandre est la région la plus affectée par la problématique avec plus de 11 000 filles et femmes excisées ou à risque contre 8 000 en Région Bruxelles-Capitale et 5 500 en Région Wallonne. Chaque année, il y a 1 419 femmes excisées nécessitant une prise en charge appropriée qui accouchent dans une maternité belge.
Les membres des SC-MGF organisent différents ateliers à destination d’un public migrant (concerné ou non par les MGF). Ce ateliers sont ouverts aux femmes, enfants, adolescentes… Récemment un atelier homme a ouvert à Bruxelles.
INTACT est une association bilingue qui fournit une aide juridique sur les mutilations génitales féminines (MGF), les mariages forcés et les violences liées à l’honneur.