Le niveau de santé de chaque personne dépend de son histoire thérapeutique, de ses croyances ainsi que des facteurs sociaux, environnementaux et culturels déterminants son niveau de santé. Cela s’avère particulièrement pertinent pour les migrants du fait qu’ils transportent avec eux ces croyances et expériences lors de leur déplacement. Les migrations génèrent donc des situations dans lesquelles les pratiques de santé reproductive et sexuelle propre à la culture d’origine peuvent différer ou entrer en contradiction avec celle de la communauté d’accueil. Un des exemples les plus criants de ce phénomène est celui des mutilations génitales féminines.
Télécharger: ici